L’utilité d’un casque moto

En plus de protéger la tête du conducteur, le casque moto a aussi comme fonction l’amélioration de la vue de son porteur et permet d’empêcher le vent ainsi que divers insectes de perturber la vue du motard sur route. Par ailleurs, avec le développement de la technologie, les casques modernes comportent actuellement des dispositifs de climatisation et de chauffage, sans oublier les écouteurs intégrés et aussi les micros qui permettent de répondre au téléphone sur route ou pour écouter de la musique.

Optez pour un casque homologué

Selon la norme française, les casques qui peuvent circuler en France doivent être homologués, donc respectant les normes. Ils doivent avoir subi différents tests mécaniques, à savoir l’absorption des chocs, la rétention de la jugulaire, le déchaussement, etc., avant d’être mis sur le marché. Sachez dans ce cas que les autorités routières peuvent facilement reconnaître les casques homologués à travers une étiquette blanche collée à l’intérieur, comportant certaines indications techniques (numéro d’homologation et numéro de série, pays d’envoi, type, etc.). Si le casque n’est pas homologué en cas de contrôle dans ce cas, le motard est passible d’une amende.

Ce qui peut faire la particularité d’un casque moto

Sur le marché, il existe plusieurs types de casques et chacun possède des fonctionnalités qui lui sont propres (casque Jet, casque transformable, casque intégral, casque modulable, etc.). Parmi les critères qui font la particularité d’un casque, il y a le système d’écran (visière classique, polycarbonate incolore), le système de fermeture (boucle D, boucle clips, système micrométrique), l’intérieur démontable ou non, la présence d’interphones, le système antibuée, le système de ventilation, et les divers dispositifs électroniques.

Le ZERO SR/S

Au-delà de son design moderne et ses courbes fines, cette gamme de motos de zero motorcycles est prisée pour sa puissance, sa vitesse et sa performance. Elle peut circuler à 200 km/h, avec une couple 190 Nm/110 CH. De quoi ravir les pilotes aguerris. Grâce à son autonomie de 323 km, elle vous garantit confort de conduite sur la route. Pour profiter de cette moto électrique dernier cri, vous devez avoir un permis de conduire de catégorie A.
Cette moto peut être utilisée tous les jours et est adaptée à toutes les qualités de route. Que ce soit pour les courses hebdomadaires ou pour aller au travail : vous allez apprécier cet engin. Ce dernier est en plus ultraléger, ce qui vous garantit une bonne prise en main sur la route.

Le Zero SR/F

Vous disposez d’un permis A ? Vous pouvez vous permettre aussi le ZERO SR/F, et ce, pour une bonne dizaine d’euros par jour seulement à la location. C’est le must des motos électriques de ville, vous assurant une autonomie, en plein trafic de 259 km pour 2 à 4 heures de chargement seulement. Grâce à sa puissance maximale de 110 ch soit de 82 kW, ce modèle vous fait profiter d’une vitesse maximale de 200 km/h.
C’est une moto qui se conduit sans effort et qui embarque de nouvelles technologies et vous assure ainsi un meilleur confort sur la route. Ce peut être pour les déplacements sur les routes nationales comme ceux dans les grandes villes.

Le Zero SR

Le Zero SR est un modèle aussi chic que performant. Certaines plateformes le proposent en location à moins de 10 euros par jour. Testez-le et voyez s’il vous convient avant de l’acheter. C’est une gamme plus légère, mais qui peut tout de même répondre à votre besoin de puissance et vos envies de vitesses avec une performance sur route pouvant atteindre les 163 km/h.
Grâce à son autonomie moyenne de 359 km/h, et son couple de 146 Nm pour 69 CH, c’est une merveille technologique dissimulée dans une carrosserie en rouge et noir et sous des courbes élégantes et modernes. Avec cet engin dernier cri, appréciez la caresse du vent et passez du 0 à 100 km en quelques secondes.
Attention, ce modèle est disponible uniquement avec permis de conduire. Un permis de catégorie A2 suffit amplement.

Une chose est sûre, les motos électriques évoluent de plus en plus de nos jours pour répondre aux demandes des pilotes et les inciter à s’engager vers une conduite plus responsable et plus écologique. Au-delà de ces modèles, qui peuvent d’ailleurs être testés auprès des professionnels, vous avez encore d’autres alternatives sur le marché. Dans tous les cas, faites votre choix selon vos besoins et votre budget.

Yamaha XT 500

Cette moto Yamaha a connu un grand succès en son temps. Aujourd’hui, la XT 500 est inscrite dans le catalogue des deux-roues de collection. Vu ses caractéristiques, cette machine est une belle pièce de collection. En effet, elle possède un moteur de 499 cm3 et une puissance de 32 chevaux.

MV Agusta Brutale 750

Ici, on a affaire à un deux-roues de type sportif. Sortie dans les années 2000, l’Aguste 750 se veut d’être un modèle plutôt mythique. De la commande de starter aux roues soigneusement ciselées, la moto a bénéficié d’une finition haut de gamme. Sous la selle, la MV cache une puissance monstre de 127 chevaux.

Laverda 1000 Jota

Cette moto des années 70 est très appréciée à l’époque en raison de ses trois cylindres de 1000. C’était d’ailleurs le deux-roues le plus rapide du marché. Sportive et élégante, la Jota possède un châssis robuste. Son calage de 1000 a été entièrement revu, passant donc de 180 à 120°.

Ducati 916

La Ducati 916 date des années 90. Dessiné par le célèbre Massimo Tamburini, ce deux-roues de collection se reflète comme la plus belle machine sportive de l’époque. Au pays du soleil levant, l’engouement pour cette Ducati est dû à sa finesse et à la pureté de son style. En ce qui concerne le palmarès de la 916, elle a reçu 4 titres en World SBK correspondant à ses années de production.

Vincent Black Shadow

Voilà une belle moto de collection ! Vincent Black Shadow est en quelque sorte la Suzuki Hayabusa des années 50. Avec son moteur monocylindrique anglais de 500 cm3, ce deux-roues fut l’une des meilleures motos de sport de l’époque. Elle bénéficiait d’une solution technologique d’avant-garde offrant ainsi une fiabilité à toute épreuve.

Quelle moto choisir ?

Avant toute acquisition, rendez-vous d’abord dans une moto-école où vous suivrez des cours pour apprendre aussi bien la conduite que les codes de la route, les techniques et les bases pour piloter une moto en toute sécurité. Si vous réussissez l’examen final, vous décrocherez votre permis et là seulement, vous pouvez envisager l’achat de votre moto. Mais laquelle choisir ? De préférence, la même moto que celle que vous avez conduit durant vos cours. Pourquoi cela ? Parce que c’est rassurant, c’est la seule que vous connaissez la mieux et vous savez comment la manier.

La bonne moto pour vous

Bien sûr, sentez-vous libre d’acheter la moto de vos rêves, mais peut-être pas trop loin de celle que aviez utilisé pour passer votre permis. Sinon, vous passeriez encore des heures, voire des jours, à apprendre à la dompter, peut-être même que vous seriez obligée de revenir dans une moto-école pour des cours avec votre moto. Puis, allez chez un sellier pour faire creuser la selle et précisez exactement les modifications que vous voulez apporter à votre moto. Quelle que soit la moto de votre choix, choisissez-en une avec selle creusable pour faciliter les choses et vive la vitesse !

Les types de casques disponibles sur le marché

Pour votre sécurité, portez toujours un casque dès lors que vous conduisez votre deux roues. Le casque intégral est le plus adapté pour les motards. Il a l’avantage de couvrir entièrement la tête, y compris le menton. Pour avoir un champ de vision plus étendu et une meilleure aération, il est possible d’opter pour le casque Jet. Ce dernier est surtout adapté à la circulation en ville. Il vous est également possible de combiner deux types de casques en un seul modèle. Pour ce faire, vous pouvez opter pour le casque modulable. Les amateurs de cross et de trial, quant à eux, peuvent se tourner vers le casque cross. Notez que les marques de moto proposent aussi des casques pour motards. Sur https://bmw.europe-moto.com/fr/3-casque-moto-bmw-motorrad, vous pouvez trouver des casques BMW.

La matière de fabrication du casque

La matière avec laquelle est fait le casque influe sur sa solidité, son poids et son prix. Un casque fait en matière plastique est ainsi moins cher, mais ne dispose que d’un niveau de solidité moyen pour un poids plus important. Un casque fait en fibre de carbone est, en revanche, plus résistant et plus léger. Son niveau de confort est plus élevé, mais comparé à un casque en plastique, il est plus cher. À part la fibre de carbone, d’autres types de fibres (verre, kevlar ou aramide) peuvent constituer un casque. Ce type de casque est plus résistant, mais un peu plus lourd par rapport au casque en fibre de carbone.

L’homologation du casque pour motard

Selon l’article L.431-1 du Code de la route, la loi oblige les conducteurs de moto et leur passager à porter un casque. Ce casque doit respecter la norme de sécurité européenne ECE 22.05. Cette norme varie en fonction du type de casque et sa présence est indiquée par une lettre en fonction du type de casque présenté. Pour un casque Jet, l’homologation est certifiée par la lettre J. Pour un casque intégral, vous devez y trouver la mention P. Pour les casques modulables, vous devrez y voir les lettres NP.

Les communautés des passionnées de moto

Les communautés accueillent toutes les femmes passionnées par la moto, qu’elles aient ou non un permis. Ces passionnées sont à l’affût de toutes les actualités autour des motos, les tournois régionaux, nationaux ou internationaux, les nouvelles motos qui font leur entrée sur le marché, les accessoires en vogue, etc. Dans ces communautés, vous trouverez des motardes passagères : elles adorent monter à moto, mais à la place du passager. Si vous aimez être à la place du passager et les courses de moto, sachez qu’il existe des courses de moto avec des passagers. Enfin, dans ces communautés, il y a les motardes pilotes qui osent aujourd’hui rivaliser avec les motards sur les circuits les plus mythiques de France et du monde. Par ailleurs, on trouve actuellement sur le marché de nombreux accessoires dédiés spécialement aux femmes. Vous avez alors des casques, des gants et des vestes de motardes.

Quel type de moto les femmes préfèrent-elles ?

Les motardes ont leur particularité dans ce monde des deux roues. Des études ont montré les différences des pratiques et des préférences des femmes en matière de moto. Selon ces études, les femmes préfèrent les petites cylindrées et les scooters. Certaines d’entre elles préfèrent une cylindrée de 80 cc ou même moins. D’autres adoptent un scooter. Bien sûr, les femmes motardes sont aussi nombreuses à s’aventurer avec les gros cylindrés. Puis, les motardes sont souvent des jeunes de moins de 35 ans. Une grande partie a même moins de 25 ans.

Le monde des deux roues attire particulièrement les novices qui ont très peu d’expériences en conduite de moto. Elles sont attirées par les sensations fortes que procurent les deux roues. Les motardes considèrent aussi la moto comme un utilitaire. Elles adoptent cet engin pour se déplacer dans les grandes agglomérations afin de fuir les bouchons. Les deux roues leur permettent de maîtriser le temps de trajet. Par rapport aux motards, on a peu constaté que les motardes sont moins équipées que les motards. Par contre, les études révèlent qu’elles sont plus respectueuses du Code de la route que les hommes. Elles courent donc moins de risque d’accident que les hommes. En tout cas, les femmes roulent moins que les hommes et affichent un kilométrage annuel plus faible. Actuellement, de nombreuses enseignes s’intéressent, et de plus en plus, aux équipements pour les femmes. Les magasins, les communautés et les blogs comme https://lesbikeuses.fr/ pour les motardes sont également nombreuses. Ces sites proposent des conseils sur le choix des deux roues, de leurs accessoires, équipement, etc.

La réparation d’une moto en cas de crevaison

Se retrouver avec un pneu crevé est un problème courant chez les motards. Dans cette situation, il est parfaitement possible de décider de vous salir les mains et d’entreprendre la réparation vous-même. Dans ce cas, essayez d’abord de retirer l’objet à l’origine de la crevaison, c’est-à-dire, le clou, la vis, l’éclat de verre, ou autres choses. Ensuite, vous pouvez, soit user d’un kit de réparation de pneu moto crevé pour mener à bien l’opération, soit employer une bombe anti-crevaison. Retenez, par contre, que cette seconde option n’est qu’une solution provisoire. Par ailleurs, vous pouvez aussi emmener votre véhicule chez un mécanicien pour une meilleure prise en main, surtout si vous n’avez pas les mains bricoleuses. De ce fait, le spécialiste va vous proposer trois alternatives pour réparer votre pneu de moto crevé entre autres, la réparation à la cheville, la fixation d’une pièce à l’intérieur des pneus pour reboucher le trou ou, pour les cas plus délicats, un remplacement total du pneu défectueux.

La réparation du guidon

Élément essentiel pour la conduite d’une moto, le guidon se doit d’être correctement installé. Dans ce cas, vous devez surement vous poser la question suivante : dans quelle situation a-t-on besoin de réparer ou de changer le guidon d’une moto ? La réponse est, au moment où vous remarquez un inconfort lié à cet élément lorsque vous conduisez votre engin. Cela peut survenir à la suite d’un choc, d’une collision ou d’une chute. Un motard décide également de remplacer le guidon de sa moto quand celui-ci commence à s’user, ou qu’il perçoit que le guidon est n’est plus attrayant visuellement et esthétiquement. Dans le cadre d’un simple redressement, vous pouvez dévisser les fixations centrales, remettre le guidon à une hauteur et une inclinaison optimale, puis resserrer le tout. En revanche, si un changement s’avère nécessaire, il va falloir démonter certaines pièces, à savoir les poignets, le rétroviseur et le guidon proprement dit. Au cours de votre manœuvre, faites attention au câble, et soyez prudent afin de ne pas confondre les vis de chaque composant. Pour finir, installez le guidon neuf et remontez les autres pièces.

Révision et réparation des feux

Veiller à ce que les feux de sa moto fonctionnent correctement constitue une garantie de sécurité primordiale pour le conducteur, aussi bien le jour que la nuit. Dans ce cas, dès qu’une ampoule présente une défaillance, il vaut mieux la remplacer rapidement. En général, les feux d’un véhicule à deux roues sont constitués de la veilleuse, du code/phare, des clignotants et des feux arrière. Chacun de ces éléments sont dotés d’une ampoule spécifique, par conséquent, ne vous trompez pas quand vous faites votre achat. Par ailleurs, lorsque vous retirez l’optique qui couvre les lampes, procédez avec délicatesse pour ne pas risquer d’abimer les fils électriques qui s’y rattachent. Une fois le travail terminé, n’oubliez pas de vérifier si l’ampoule fraichement installée fonctionne correctement. Enfin, si vous ne voulez pas vous cassez la tête, vous pouvez toujours appeler un professionnel pour réparer les feux de votre moto.

Une technique différente d’un moteur 2 temps

Aussi, il est indispensable que vous en connaissiez un tant soit peu pour ne pas vous sentir perdu en cas de panne. Car il faut savoir que, bien souvent, vous pouvez venir à bout d’une panne vous-même sans toujours attendre l’intervention d’un professionnel. D’ailleurs, c’est également très économique. Alors, comment trouver la panne sur un moteur 4 temps ? Commencez systématiquement par vérifier la batterie, toujours. Premièrement, assurez-vous que la batterie fonctionne correctement, et pour ce faire, servez-vous d’un multimètre en tenant compte du voltage préconisé. Puis, passez à l’allumage des bougies. Si vous voyez une étincelle, c’est que le circuit électrique n’a aucun problème et donc, la panne ne vient pas de là. Mais en l’absence de cette étincelle, contrôler le doigt d’allumage et s’il n’y a toujours pas d’étincelle, la pièce défectueuse peut être le régulateur, la bobine, etc.

Passez à la carburation et au moteur

Si après contrôle, vous êtes sûr que le circuit électrique se porte bien, passez à un test de la carburation. Est-ce que l’essence arrive correctement ? Ce qui veut dire que le filtre à essence, la durite, la dépression, le robinet ou la pompe à essence fonctionne comme il faut. Alors, pour détecter la panne, démontez le carburateur pour voir les pièces telles que l’aiguille et la membrane et nettoyez-les. Puis, passez à la synchronisation pour la rampe à l’aide d’une nourrice et d’un appareil de synchronisation. Maintenant, si votre moto est doté d’un système d’injection, jetez un œil sur les injecteurs pour vous assurer qu’ils fonctionnent bien. Si ce n’est pas le cas, vous n’avez d’autre choix que d’amener votre moto chez votre concessionnaire. Après toutes ces étapes, si votre moto ne démarre toujours pas, le problème vient peut-être du moteur. Comment le savoir ? Contrôlez le jeu aux soupapes en vous référant aux données de la revue technique et contrôlez aussi la compression des cylindres tout en vérifiant qu’ils tournent correctement. Vidangez le moteur. Si jamais il y a une fuite au niveau du carter et du demi carter, remplacez.

D’autres conseils qui peuvent vous servir

Toujours au niveau du moteur, plusieurs vérifications s’imposent, afin de vous assurer que vous n’avez oublié aucun élément. Songez à vérifier les soupapes, on a tendance à les ignorer ou les oublier. Ce sont elles qui sont peut-être défectueuses, mais pour en avoir un diagnostic sûr, il faut un outillage moto spécifique. Si vous ne voyez toujours pas d’où provient la panne, ouvrez le bloc moteur et vérifiez les engrenages, la fourchette, les rondelles de calage et les autres éléments.

C’est quoi une bonne moto-école ?

Il est vrai que toute école a pour but, en général, d’instruire les élèves suivant la spécialité qu’elle a choisie. Malheureusement, il y en a de bonnes et aussi, des mauvaises. Un des critères que vous devez considérer en priorité pour une moto-école sûr est donc, la disponibilité de son agrément. L’obtention de ce dernier est assurée par la qualité des formations qui y sont proposées, et le sérieux de l’école. Ensuite, pour votre propre confort, cherchez-en une qui ne soit pas loin de chez vous pour faciliter votre déplacement. Mais aussi, une qui offre des cours à des horaires flexibles pour vous donner plus de marge au quotidien et afin de faciliter vos organisations et vos déplacements. Enfin, renseignez-vous à l’avance sur le tarif normal, pour pouvoir faire la comparaison, car il est vrai que le prix des cours varie d’un établissement à un autre. Faites attention cependant, car s’il est trop abordable, c’est qu’il y a anguille sous roche ! Logiquement, le tarif reflète la qualité de l’école en général.

De bons moyens pour de bons résultats !

Avant de vous fier aux « on-dit », constatez d’abord par vous-même si la moto-école correspond et répond à vos attentes. Vous pouvez effectuer une visite des lieux avant de vous inscrire. Soyez attentif sur l’ambiance générale qui y règne, les moyens utilisés pour le bon déroulement des cours et si les moniteurs vous inspirent confiance, etc. Posez-vous également les bonnes questions, c’est-à-dire, se demander s’ils sont ouverts aux questions des élèves, si Les cours sont bien animés ou encore si les apprenants peuvent participer. Il faut également se poser la question si le mode de formation est à la portée de tous, et en ce qui concerne les infrastructures, de demander combien ya-t-il de motos ? D’autres questions peuvent aussi être posées comme, peuvent-elles assurer la pratique des élèves prise pour une cession ? Sont-elles en bon état de marche pour assurer une bonne pratique ? Cette dernière prend-elle une grande place autant que les cours théoriques, etc. Notez bien toutes vos questions et posez-les aux responsables et aux autres apprenants. Ces derniers peuvent vous avancer si la moto-école est de qualité ou non.

Les conditions pour réussir

Normalement, la moto-école doit vous fournir des cours théoriques et pratiques. Ces derniers terminés, vous devez passer ensuite des examens. Il s’agira dans ce cas, de contrôle pour évaluer votre connaissance des codes. Une fois réussi, vous passez sur le plateau, pour finir sur la circulation. Ce sont les écoles qui se chargent des formalités à votre place, sauf si vous décidez de vous présenter en tant que candidat libre. Pour s’inscrire, dans ce cas, il y a un dossier à constituer et des formalités à suivre. Sachez tout de même que l’âge minimum requis pour l’obtention d’un permis moto est de 16 ans avec quelques particularités, que vous pouvez voir dans les moto-écoles. Si vous avez réussi aux examens, vous obtenez votre permis après 4 mois. Dans le cas contraire, vous devrez le repasser. Mais sachez que votre réussite dépendra en grande partie de votre école.

Trouver la moto que vous aimez…

Mais vous avez sans doute remarqué qu’il n’est pas du tout facile de combiner rêve et réalité, dans le domaine de la moto en tout cas. Car si vous avez un petit gabarit, cela ne facilite pas le choix de votre moto. Ce qu’il y a, c’est que les motos sont fabriquées pour des tailles standards, alors que vous n’entrez pas dans cette catégorie. Petite taille, jambes plutôt courtes, comment trouver l’engin qu’il vous faut ? Le fait est que vous devez tenir compte de la hauteur et de la largeur de la selle, de votre poids qui peuvent rendre le relevé de la moto de la béquille. Les manœuvres à basse vitesse et les demi-tours en devers peuvent devenir plus compliqués, ce qui peut finir par vous rendre maladroite car peu confiante en votre deux-roues et en vous.

Avez-vous vraiment un petit gabarit ?

Mais qu’est-ce qu’un petit gabarit ? Ce qu’on appelle petit gabarit dans l’univers des deux-roues, c’est mesurer moins d’1m70. Mais outre cette taille de la tête aux pieds, c’est surtout la longueur des jambes qui comptent le plus. Car deux personnes peuvent avoir exactement la même taille mais ne pas avoir la même longueur de jambes. L’une pourra mettre les 2 pieds à terre lorsqu’elle est sur sa moto et l’autre ne pourra poser que l’un de ses pieds. Ce que vous devez savoir, c’est que ceux qui mesurent 1m70 à peu près peuvent toucher le sol du bout de leurs pieds sur des modèles de moto dont la hauteur de selle est moins de 800 mm. Si on se réfère aux statistiques de l’INSEE, les Français mesurent en moyenne 1m74 et les Françaises 1m63. Ce qui veut dire que pratiquement tous les hommes français sont aptes à conduire des motos de grosses cylindrées. Et ils ont les muscles en plus…

Pour quel modèle êtes-vous fait ?

Il existe forcément un modèle qui va vous plaire et qui répondra à vos attentes. Renseignez-vous bien car il y a des versions rabaissées, c’est-à-dire qu’on peut les rabaisser à l’aide d’un kit de rabaissement, parfois même au niveau de la fourche et de l’amortisseur. Avec une selle différente ou un simple réglage pour changer la hauteur de la selle, vous pouvez avoir sur LA moto de votre vie. Ou bien rendez-vous chez un sellier qui propose des selles plus fines, rembourrées donc avec moins de mousse, surtout au niveau de l’entrejambe. Les Monkey et les MSX sont souvent les solutions habituellement proposées à ceux qui sont de petits gabarits. Les customs, grâce à leur assise basse, est une option intéressante. Par exemple les Honda CMX5OO Rebel, les Yamaha XV950R, les Kawasaki Vulcan S, etc.